Le percement du voile qui sépare la conscience extérieure de l'être intérieur est l'un des mouvements décisifs du yoga. Car le yoga, c'est l'union avec le Divin, mais c'est aussi l'éveil au moi intérieur d'abord, au moi supérieur ensuite: un mouvement vers l'intérieur et un mouvement vers le haut. En fait, c'est seulement lorsque l'être intérieur s'éveille et vient au premier plan que l'on peut parvenir à l'union avec le Divin. La personnalité physique extérieure de l'homme n'est rien de plus qu'un ensemble d'instruments et ne peut par elle-même atteindre cette union: tout au plus peut-elle recevoir des contacts intermittents, des sentiments religieux, des indications imparfaites. Et même ceux-ci ne viennent pas de la conscience extérieure, mais de ce qui est au-dedans de nous.
Deux mouvements sont mutuellement complémentaires: dans l'un, l'être intérieur vient au premier plan et impose à la conscience extérieure ses mouvements normaux qui sont, pour elle, inhabituels et anormaux; dans l'autre, on se retire de la conscience extérieure, on pénètre au-dedans, dans les plans intérieurs, on entre dans le monde du moi intérieur et l'on s'éveille dans les parties cachées de l'être. Cette plongée une fois effectuée, vous êtes marqué pour la vie yoguique, pour la vie spirituelle; rien ne peut effacer le sceau qui a été apposé sur vous.
Ce mouvement vers l'intérieur s'effectue de manières très diverses et il arrive parfois que tous les signes de la plongée totale se combinent en une expérience complexe. On se sent entrer à l'intérieur ou descendre au plus profond de soi-même, on a le sentiment d'un mouvement vers les profondeurs intérieures; souvent aussi, on ressent une immobilité, un engourdissement agréable, une raideur des membres.
C'est le signe que la conscience se retire du corps vers l'intérieur sous la pression d'une force venue d'en haut et cette pression, pour faire du corps un support immobile de la vie intérieure, le stabilise en une sorte d'âsana vigoureux et pourtant spontané. On a la sensation de vagues qui s'élèvent et montent vers la tête, ce qui provoque une inconscience à l'extérieur et, à l'intérieur, un éveil. La conscience inférieure s'élève dans l'Âdhâr pour rejoindre la conscience plus grande qui se trouve au-dessus. Ce mouvement est analogue à celui auquel la méthode tantrique donne tant d'importance: l'éveil de la Kundalinî, Énergie lovée et latente dans le corps, et son ascension à travers l'épine dorsale, les centres (chakra) et le Brahmarandhra, à la rencontre du Divin au-dessus.
Dans notre yoga, il ne s'agit pas d'une méthode spécifique, mais d'une part, d'un jaillissement spontané de toute la conscience inférieure, parfois en courants et en vagues, parfois en un mouvement moins concret, et d'autre part d'une descente dans le corps de la Conscience divine et de sa Force. Cette descente est ressentie comme l'envahissement d'un flot de calme et de paix, de force et de pouvoir, de lumière, de joie et d'extase, d'immensité, de liberté, de connaissance, d'un Être divin ou d'une Présence, parfois de l'un de ces éléments, parfois de plusieurs d'entre eux ou de tous à la fois.
Le mouvement ascendant a différents effets: il peut libérer la conscience de sorte que l'on ne se sent plus dans le corps, mais au-dessus de lui, ou encore répandu dans l'immensité, alors que le corps est presque dépourvu d'existence ou n'est plus qu'un point dans la libre expansion de soi-même. Il peut aussi conférer à l'être, ou à une certaine partie de l'être, la faculté de sortir du corps et de se mouvoir ailleurs, et cette action s'accompagne d'ordinaire d'une sorte de samâdhi partiel ou d'une transe complète.
Ou encore la conscience, n'étant plus limitée par le corps et les habitudes de la nature extérieure, peut acquérir le pouvoir de s'intérioriser, d'entrer dans les profondeurs du mental intérieur, du vital intérieur, du physique intérieur (subtil), du psychique; elle peut devenir capable de percevoir son moi psychique profond ou son être intérieur mental, vital et physique subtil et peut-être de se déplacer et de vivre dans les domaines, les plans, les mondes qui correspondent à ces parties de la nature.
C'est par l'ascension répétée et constante de la conscience inférieure que le mental, le vital, le physique peuvent entrer en contact avec les plans supérieurs jusqu'au supramental et s'imprégner de leur lumière, de leur pouvoir et de leur influence. Et c'est par la descente répétée et constante de la Conscience divine et de sa Force que l'être et la nature se transforment dans leur totalité. Lorsque cette descente est devenue habituelle, la Force divine - le Pouvoir de la Mère - commence à travailler non plus seulement d'en haut ou de derrière le voile, mais dans la conscience même de l'Âdhâr; elle prend en charge ses difficultés, exploite ses possibilités et poursuit elle-même le yoga.
Vient enfin le passage de la frontière. Ce n'est pas un assoupissement ou une perte de conscience, car la conscience est là sans cesse; seulement elle change de place, sort de l'être extérieur et physique, se ferme au monde extérieur et se retire dans la partie intérieure psychique et vitale de l'être. Là, elle passe par de nombreuses expériences dont certaines peuvent et doivent être ressenties aussi à l'état de veille; car pour que l'on devienne conscient du moi intérieur et de la nature intérieure, les deux mouvements sont nécessaires: l'émergence de l'être intérieur et sa venue au premier plan, et l'intériorisation de la conscience.
Mais le mouvement d'intériorisation est indispensable, car ses usages sont multiples. Il a pour effet de briser - ou du moins d'ouvrir et de faire franchir - la barrière qui sépare notre conscience instrumentale extérieure de cet être intérieur qu'elle s'efforce très partiellement d'exprimer, ce qui permettra plus tard à l'être d'accéder à une perception consciente des richesses infinies de possibilités, d'expériences, de nouvelles manières d'être et de vivre qui restent inexploitées derrière le voile de cette petite personnalité matérielle aveugle et limitée que les hommes prennent à tort pour la totalité d'eux-mêmes. C'est l'ouverture et l'élargissement constant de cette perception plus profonde, plus pleine et plus riche qui s'accomplit lorsque après cette plongée intérieure, on revient de ce monde intérieur vers l'état de veille.
Le sâdhak doit comprendre que ces expériences ne sont pas simplement des imaginations ou des rêves, mais des événements réels, car même lorsqu'elles ne sont que des formations d'un caractère néfaste, trompeur ou adverse - et cela se produit souvent - elles ont tout de même un pouvoir formateur et l'on doit les comprendre pour être capable de les rejeter et de les abolir. Chaque expérience intérieure est parfaitement réelle à sa manière, bien que les diverses expériences soient de valeur très inégale, mais cette réalité est celle du moi intérieur et des plans intérieurs.
C'est une erreur de penser que nous ne vivons que physiquement, par le mental et la vie extérieurs. Nous vivons et nous agissons sans arrêt sur d'autres plans de conscience, nous y rencontrons les autres, nous agissons sur eux, et ce que nous faisons, sentons et pensons dans ces plans, les forces que nous y rassemblons, les conséquences que nous y préparons ont à notre insu, sur notre vie extérieure, une importance et un effet incalculables. Tout ne se transmet pas, et ce qui se transmet prend une forme différente dans le physique, même si parfois la correspondance est exacte; mais c'est sur la petite partie qui est transmise que se fonde notre existence extérieure.
Tout ce que nous devenons, tout ce que nous faisons, tout ce que nous subissons dans la vie physique se prépare en nous derrière le voile. Il est par conséquent d'une immense importance, dans un yoga dont le but est la transformation de la vie, de prendre conscience de ce qui se passe dans ces domaines, d'y régner en maître et d'être capable de sentir, de connaître, de manipuler les forces secrètes qui déterminent notre destin, notre croissance ou notre déclin intérieurs et extérieurs.
C'est tout aussi important pour ceux qui veulent cette union avec le Divin sans laquelle la transformation est impossible. L'aspiration ne peut pas se réaliser si vous restez ligoté par votre moi extérieur, attaché au mental physique et à ses mouvements étriqués. Ce n'est pas l'être extérieur qui est la source de l'impulsion spirituelle: l'être extérieur ne fait que subir la poussée intérieure qui vient de derrière le voile. C'est l'être psychique intérieur en vous qui est le bhakta, lui qui cherche l'union et l'Ânanda, et ce qui est impossible à la nature extérieure abandonnée à elle-même devient parfaitement possible lorsque la barrière est abattue et que le moi intérieur est au premier plan. Car dès l'instant où il vient puissamment en avant ou attire avec force la conscience en lui-même, la paix, l'extase, la liberté, l'immensité, l'ouverture à la lumière et à une connaissance supérieure commencent à devenir naturelles, spontanées et souvent émergent aussitôt.
Une fois la barrière brisée par l'un ou l'autre mouvement, vous vous apercevez que tous les procédés et tous les mouvements nécessaires au yoga sont à votre portée et non, comme ils apparaissent au mental extérieur, difficiles ou impossibles. Le moi psychique profond en vous contient déjà le yogi et le bhakta, et s'il peut émerger tout à fait et prendre le commandement, l'orientation spirituelle de votre vie extérieure est prédéterminée et inéluctable.
Chez le sâdhak qui réussit dès le début, le moi psychique a déjà construit une vie intérieure profonde, yoguique et spirituelle, voilée seulement en raison d'une forte orientation vers l'extérieur conférée au mental pensant et aux parties vitales inférieures par l'éducation et les activités passées. C'est précisément pour corriger cette orientation vers l'extérieur et retirer le voile que le sâdhak doit déployer tant d'énergie dans sa pratique du yoga.
Une fois que l'être intérieur s'est vigoureusement manifesté, soit par le mouvement qui va vers l'intérieur, soit par celui qui sort vers l'extérieur, il renouvellera inévitablement sa pression pour déblayer le passage et finalement prendre possession de son royaume. Une première expérience de ce genre préfigure ce qui doit se produire ensuite à plus grande échelle.
Deux mouvements sont mutuellement complémentaires: dans l'un, l'être intérieur vient au premier plan et impose à la conscience extérieure ses mouvements normaux qui sont, pour elle, inhabituels et anormaux; dans l'autre, on se retire de la conscience extérieure, on pénètre au-dedans, dans les plans intérieurs, on entre dans le monde du moi intérieur et l'on s'éveille dans les parties cachées de l'être. Cette plongée une fois effectuée, vous êtes marqué pour la vie yoguique, pour la vie spirituelle; rien ne peut effacer le sceau qui a été apposé sur vous.
Ce mouvement vers l'intérieur s'effectue de manières très diverses et il arrive parfois que tous les signes de la plongée totale se combinent en une expérience complexe. On se sent entrer à l'intérieur ou descendre au plus profond de soi-même, on a le sentiment d'un mouvement vers les profondeurs intérieures; souvent aussi, on ressent une immobilité, un engourdissement agréable, une raideur des membres.
C'est le signe que la conscience se retire du corps vers l'intérieur sous la pression d'une force venue d'en haut et cette pression, pour faire du corps un support immobile de la vie intérieure, le stabilise en une sorte d'âsana vigoureux et pourtant spontané. On a la sensation de vagues qui s'élèvent et montent vers la tête, ce qui provoque une inconscience à l'extérieur et, à l'intérieur, un éveil. La conscience inférieure s'élève dans l'Âdhâr pour rejoindre la conscience plus grande qui se trouve au-dessus. Ce mouvement est analogue à celui auquel la méthode tantrique donne tant d'importance: l'éveil de la Kundalinî, Énergie lovée et latente dans le corps, et son ascension à travers l'épine dorsale, les centres (chakra) et le Brahmarandhra, à la rencontre du Divin au-dessus.
Dans notre yoga, il ne s'agit pas d'une méthode spécifique, mais d'une part, d'un jaillissement spontané de toute la conscience inférieure, parfois en courants et en vagues, parfois en un mouvement moins concret, et d'autre part d'une descente dans le corps de la Conscience divine et de sa Force. Cette descente est ressentie comme l'envahissement d'un flot de calme et de paix, de force et de pouvoir, de lumière, de joie et d'extase, d'immensité, de liberté, de connaissance, d'un Être divin ou d'une Présence, parfois de l'un de ces éléments, parfois de plusieurs d'entre eux ou de tous à la fois.
Le mouvement ascendant a différents effets: il peut libérer la conscience de sorte que l'on ne se sent plus dans le corps, mais au-dessus de lui, ou encore répandu dans l'immensité, alors que le corps est presque dépourvu d'existence ou n'est plus qu'un point dans la libre expansion de soi-même. Il peut aussi conférer à l'être, ou à une certaine partie de l'être, la faculté de sortir du corps et de se mouvoir ailleurs, et cette action s'accompagne d'ordinaire d'une sorte de samâdhi partiel ou d'une transe complète.
Ou encore la conscience, n'étant plus limitée par le corps et les habitudes de la nature extérieure, peut acquérir le pouvoir de s'intérioriser, d'entrer dans les profondeurs du mental intérieur, du vital intérieur, du physique intérieur (subtil), du psychique; elle peut devenir capable de percevoir son moi psychique profond ou son être intérieur mental, vital et physique subtil et peut-être de se déplacer et de vivre dans les domaines, les plans, les mondes qui correspondent à ces parties de la nature.
C'est par l'ascension répétée et constante de la conscience inférieure que le mental, le vital, le physique peuvent entrer en contact avec les plans supérieurs jusqu'au supramental et s'imprégner de leur lumière, de leur pouvoir et de leur influence. Et c'est par la descente répétée et constante de la Conscience divine et de sa Force que l'être et la nature se transforment dans leur totalité. Lorsque cette descente est devenue habituelle, la Force divine - le Pouvoir de la Mère - commence à travailler non plus seulement d'en haut ou de derrière le voile, mais dans la conscience même de l'Âdhâr; elle prend en charge ses difficultés, exploite ses possibilités et poursuit elle-même le yoga.
Vient enfin le passage de la frontière. Ce n'est pas un assoupissement ou une perte de conscience, car la conscience est là sans cesse; seulement elle change de place, sort de l'être extérieur et physique, se ferme au monde extérieur et se retire dans la partie intérieure psychique et vitale de l'être. Là, elle passe par de nombreuses expériences dont certaines peuvent et doivent être ressenties aussi à l'état de veille; car pour que l'on devienne conscient du moi intérieur et de la nature intérieure, les deux mouvements sont nécessaires: l'émergence de l'être intérieur et sa venue au premier plan, et l'intériorisation de la conscience.
Mais le mouvement d'intériorisation est indispensable, car ses usages sont multiples. Il a pour effet de briser - ou du moins d'ouvrir et de faire franchir - la barrière qui sépare notre conscience instrumentale extérieure de cet être intérieur qu'elle s'efforce très partiellement d'exprimer, ce qui permettra plus tard à l'être d'accéder à une perception consciente des richesses infinies de possibilités, d'expériences, de nouvelles manières d'être et de vivre qui restent inexploitées derrière le voile de cette petite personnalité matérielle aveugle et limitée que les hommes prennent à tort pour la totalité d'eux-mêmes. C'est l'ouverture et l'élargissement constant de cette perception plus profonde, plus pleine et plus riche qui s'accomplit lorsque après cette plongée intérieure, on revient de ce monde intérieur vers l'état de veille.
Le sâdhak doit comprendre que ces expériences ne sont pas simplement des imaginations ou des rêves, mais des événements réels, car même lorsqu'elles ne sont que des formations d'un caractère néfaste, trompeur ou adverse - et cela se produit souvent - elles ont tout de même un pouvoir formateur et l'on doit les comprendre pour être capable de les rejeter et de les abolir. Chaque expérience intérieure est parfaitement réelle à sa manière, bien que les diverses expériences soient de valeur très inégale, mais cette réalité est celle du moi intérieur et des plans intérieurs.
C'est une erreur de penser que nous ne vivons que physiquement, par le mental et la vie extérieurs. Nous vivons et nous agissons sans arrêt sur d'autres plans de conscience, nous y rencontrons les autres, nous agissons sur eux, et ce que nous faisons, sentons et pensons dans ces plans, les forces que nous y rassemblons, les conséquences que nous y préparons ont à notre insu, sur notre vie extérieure, une importance et un effet incalculables. Tout ne se transmet pas, et ce qui se transmet prend une forme différente dans le physique, même si parfois la correspondance est exacte; mais c'est sur la petite partie qui est transmise que se fonde notre existence extérieure.
Tout ce que nous devenons, tout ce que nous faisons, tout ce que nous subissons dans la vie physique se prépare en nous derrière le voile. Il est par conséquent d'une immense importance, dans un yoga dont le but est la transformation de la vie, de prendre conscience de ce qui se passe dans ces domaines, d'y régner en maître et d'être capable de sentir, de connaître, de manipuler les forces secrètes qui déterminent notre destin, notre croissance ou notre déclin intérieurs et extérieurs.
C'est tout aussi important pour ceux qui veulent cette union avec le Divin sans laquelle la transformation est impossible. L'aspiration ne peut pas se réaliser si vous restez ligoté par votre moi extérieur, attaché au mental physique et à ses mouvements étriqués. Ce n'est pas l'être extérieur qui est la source de l'impulsion spirituelle: l'être extérieur ne fait que subir la poussée intérieure qui vient de derrière le voile. C'est l'être psychique intérieur en vous qui est le bhakta, lui qui cherche l'union et l'Ânanda, et ce qui est impossible à la nature extérieure abandonnée à elle-même devient parfaitement possible lorsque la barrière est abattue et que le moi intérieur est au premier plan. Car dès l'instant où il vient puissamment en avant ou attire avec force la conscience en lui-même, la paix, l'extase, la liberté, l'immensité, l'ouverture à la lumière et à une connaissance supérieure commencent à devenir naturelles, spontanées et souvent émergent aussitôt.
Une fois la barrière brisée par l'un ou l'autre mouvement, vous vous apercevez que tous les procédés et tous les mouvements nécessaires au yoga sont à votre portée et non, comme ils apparaissent au mental extérieur, difficiles ou impossibles. Le moi psychique profond en vous contient déjà le yogi et le bhakta, et s'il peut émerger tout à fait et prendre le commandement, l'orientation spirituelle de votre vie extérieure est prédéterminée et inéluctable.
Chez le sâdhak qui réussit dès le début, le moi psychique a déjà construit une vie intérieure profonde, yoguique et spirituelle, voilée seulement en raison d'une forte orientation vers l'extérieur conférée au mental pensant et aux parties vitales inférieures par l'éducation et les activités passées. C'est précisément pour corriger cette orientation vers l'extérieur et retirer le voile que le sâdhak doit déployer tant d'énergie dans sa pratique du yoga.
Une fois que l'être intérieur s'est vigoureusement manifesté, soit par le mouvement qui va vers l'intérieur, soit par celui qui sort vers l'extérieur, il renouvellera inévitablement sa pression pour déblayer le passage et finalement prendre possession de son royaume. Une première expérience de ce genre préfigure ce qui doit se produire ensuite à plus grande échelle.
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